Ĝihadismo kaj la naskiĝo de nigra truo
Article remanié en rouge par notre plume.
Terrorisme djihadiste : prédominance de la dimension psychoculturelle(Psychoculturelle = Trou noir)
Dans le monde musulman, l’usage de la terreur (Comme le trou noir) à des fins politiques remonte au « Vieux de la Montagne », Hassan ibn al-Sabbah (Iran, XIème siècle), fondateur de la secte (La secte est toujours un trou noir) des « Assassins » (Gamers!! Ceci ne vous dit-il pas quelque chose?), soldats drogués au haschich (Cocaïne, captagon… . Le Trou noir) pour remplir leur mission(Dans le trou noir).\\
En fait, Hassan ibn al-Sabbah appelait ses adeptes (Particules de lumière happées par le trou noir) « Assassiyoun », c’est-à-dire les fidèles au « fondement de la foi(Foi = Trou noir) ».
Sa doctrine(du Trou noir) prône la pureté de l’âme (L'invisible de la matière) et l’inutilité du corps(C'est la recherche de l'état “Trou noir”). Après la mort (Implosion de la chose la matière, prélude au trou noir), les âmes (Composantes du trou noir) des « purs » vont au paradis, magnifique jardin secret (Secret, puisque que dans le trou noir) où 70 « houris » (jeunes femmes, belles et vierges) leur servent des mets délicieux( C'est le trou noir excentrique qui se balade dans l'univers).
Les méthodes du « Vieux de la Montagne » seront reprises par Hassan el-Banna, (Le trou noir agrège) qui fonde l’association des « Frères Musulmans » (Égypte, 1928). Cette organisation, qui manifeste son opposition, parfois violente, aux États arabes laïcs et à Israël(Le trou noir entre dans une danse mortelle avec les autres trou noir qu'il tente de happer), est officiellement considérée comme terroriste par le gouvernement égyptien, la Russie et l’Arabie Saoudite. Elle a rapidement diffusé ses idées dans les pays à majorité musulmane du Moyen-Orient, au Soudan et en Afrique du Nord. Le mouvement politico-militaire « Hamas », créé en 1987 dans la bande de Gaza, en est issu.
Typologie psychologique des grains de lumière aspirés par le trou noir
- Le salafiste « idéologique », choisi par son chef hiérarchique, doit repérer et endoctriner une personne à qui il inspire confiance. Il va l’isoler de son cercle familial et réduire son champ d’activité intellectuelle. Fin psychologue, il parvient à détecter ses faiblesses et traumatismes psychiques éventuels.
- Le salafiste « délinquant » a d’abord été incarcéré pour délit de droit commun. Il sort de prison, où il a rencontré un autre salafiste, qui lui a parlé de la fraternité des membres de la communauté musulmane où tous sont égaux, quel que soit le statut social ou la couleur de la peau. Cela le renvoie à sa famille perdue, avec le sentiment de vouloir se racheter.
- Le salafiste « braqueur » va continuer à voler de l’argent pour le donner à l’organisation. Il poursuit donc son activité antérieure, mais avec un sentiment de rédemption.
- (On finit en beauté par) le salafiste « suicidaire ». Il souffre de psychose (dans le trou noir) : en rupture totale avec la société (Avalé par les trou noir, il n'y aura plus de retour possible pour ce grain de lumière), il est prêt à passer à l’acte. Pour lui, la vie terrestre n’ayant plus de sens, il croit trouver ainsi la voie du salut . Après un parcours chaotique de son vivant, le « martyr » croit acquérir, par l’assassinat des « ennemis de la foi (dans le trou noir)», la reconnaissance sociale qui lui permettra de rencontrer les 70 « houris » au paradis (des Trous noirs).
Symptômes révélateurs de présence de la particule de lumière qui s'approche du trou noir
D’après Asma Guénifi, le salafiste « djihadiste » souffre d’une névrose (Un toc) obsessionnelle de la « pureté » (du vide).
Il pense que la répétition du rituel (La matérialisation du Vide) lui permet de vivre comme le prophète Mahomet, dont le quotidien demeure inconnu. Sa paranoïa lui fait considérer « l’autre » comme un ennemi, avec qui il est impossible de discuter. Privé de repères (Car il est le vide flottant dans le vide de la Galaxie), il souhaite la mort. Son attitude envers la femme reflète sa frustration (Vide) sexuelle.
Selon l’idéologie salafiste, la femme doit cacher entièrement son corps et son visage découvert correspond à son sexe (et le vide).
Le « Vieux de la Montagne » exigeait de ses adeptes l’oubli (Rendre vides) des opinions des autres, inhibant ainsi l’évolution de leur conscience (Pour entrer dans l'inconscience du vide). Les salafistes « djihadistes » n’ont guère de bagage intellectuel, mais séduisent certains jeunes. Or, précise Asma Guénifi, la vie psychique de chaque individu importe le plus, car il est très difficile de se reconstruire une nouvelle identité et de centres d’intérêt après un endoctrinement ( Pour le Dieu du Vide).