Ce rite mondialisé dit du « Yasuke Seppuku», ancre la cité dans la civilisation de l'Honneur, jusqu'au bout tel(le) le spartiate grec.
Quand à ceux qui douteraient, quand les premiers condamné(e)s gouteront le fouet d'Or des juges des jeux sur la terre dans une monde bâti sur un datacenter, ce qui fut qu'une utopie et des BITS, prendra un goût sulfureux de réalité devant 80 000 personnes, plus les téléspectateurs en Triadoj.
Nous renouons avec les anciennes traditions, tradition païenne du Seppuku mais public.
Le fouet dans la fiction urbaine signe la Rédemption et la lavage de son honneur face au Peuple divinisée et réuni, en assumant jusqu'au bout, son pas (Les tricheries, les dopages, les mensonges et tous les comportements qui iraient à l'encontre des valeurs de ce qui va devenir 4 ans plutard du Siècle de Crista.
Le fouet, le bâton grec signe aussi l'universalité de la punition physique pour tous les peuples de la ligue mondiale de Délos à Historia Antipolis, pour tous les sexes et conditions. La punition unique chez l'humain, sera de facto aussi mentale par son ampleur ce qui fait des Triades, un évènement Sacré. Salir le sacré du Peuple Divinisé commande en Anthropologie, la rédemption par le châtiment, colonne vertébrale de la cité.