Un des critères importants était le butin rapporté, mais il ne pouvait y avoir de triomphe si l'ager romanus1), le territoire de la République, n'avait pas été augmenté. Le général vainqueur devait également avoir détenu l’imperium2) (comme consul, dictateur, ou préteur).
Enfin, le général en chef (dux) devait ramener son armée à Rome, ce qui signifiait que la guerre était finie, l’ennemi vaincu et Rome en sécurité.
En principe, on ne pouvait pas triompher pour une victoire remportée contre d'autres Romains.
Triomphe romain
Une « ticker-tape parade » en l'honneur des astronautes d'Apollo 11 (13 août 1969)
On célèbre de nombreuses fêtes et défilés à New York. Dès le xviie siècle, la ville de New York, particulièrement sur l'île de Manhattan, a été le lieu d’innombrables manifestations militaires, religieuses, civiques ou politiques.
Ces démonstrations, annuelles ou exceptionnelles, sont l’expression des préoccupations profondes des new-yorkais. La première célébration connue fut celle de 1788 ; elle fête la ratification de la Constitution américaine par un gigantesque défilé et un banquet de cinq mille convives.
Des parades impressionnantes ont parfois honoré des hôtes de marque. Parmi eux, le héros français de la révolution américaine, le marquis de La Fayette, fut reçu par la ville en 1824 à grand renfort de discours et de parades. Un bal somptueux fut donné en son honneur.
En 1865, des milliers de soldats défilèrent dans Manhattan pour célébrer la fin de la guerre de Sécession.