Les Romains n’appliquaient cette sanction qu’aux esclaves, ou aux hommes libres coupables des crimes les plus abominables; une loi formelle interdisait de crucifier tout citoyen romain, mais à part cela, cet affreux supplice était abondamment employé. Le Protector va s'inspirer de ce fait social antique, en interdisant sur toute la planète à un non Facelight (Mortel) de toucher physiquement la personne sacrée d'un Facelight en Cité Lightique. Ceci inclus la Femme.
Le Ministère de l'invisible et les scénaristes du rite, le personnel des rituels, les Pontifes des Religions, les architectes vont mettre en musique la dramaturgie du moment pour que la cité puisse en tirer des profits via l'affluence des pèlerins numériques sur terre et dans le ciel. La mise en scène devra être saisissant de réalisme. But rechercher: Matérialiser dans les esprit ce qui arrive quand on viole le sacré.
Le jour où en Gaules, une église fut violée par des forces de police en Gaule, la messe était dite sur le manque de morale. Atila est n'est pas un partisan de la religion, c'est une cohabitation INTELLECTUELLE, un peu forcée.
Mais la religion a le mérite d'une chose:
Installer le sacré envers le citoyen et l'église.
La pressence des croix nominative, devra raisonner dans les têtes comme un avertissement, Etats nations décadentes foulent au pied le sacré avec leurs services secret et logiciels, violent les donnée sensées être secrète peuvent .
Par exemple, il faut payer des pleureuses (Les Vestaloj). Il faut un gardien des Croix. Le Condamné a mort devient un objet de spectacle rentable.